Après avoir travaillé avec les jeunes designers de l’école de mode LISAA pour l’édition 2022, Merinos a choisi cette année de faire appel à l’artiste et illustratrice parisienne La Ville Et Les Nuages qui partage les mêmes valeurs de bonne humeur, de créativité et d’attachement au savoir-faire français !

Un projet qui a tout de suite enthousiasmé Louise (aka La Ville Et Les Nuages) : « Marion de l’équipe Merinos m’a contacté un beau matin et j’adore réaliser des partenariats avec des marques françaises qui ont un fort ancrage dans notre pays et offrent une ouverture créative forte ! ».

Un coup de cœur réciproque donc qui a donné naissance à trois parures de lit 100% Frenchy qui rappellent, avec humour et créativité, les valeurs de Merinos :  Liberté, Egalité, Fraterlité !

1/ D'où t'es venue l'inspiration ? Quel a été ton processus créatif ?

La parure Les beaux jours a été conçue pour s’intégrer dans tous les intérieurs ; en effet, j’ai travaillé un motif graphique pour la couette, et j’ai ajouté une petite touche de fun avec ces deux soleils très récurrents dans mon travail pour les taies d’oreiller. L’idée était d’avoir une parure un peu plus tempérée, afin de proposer une option plus calme graphiquement que les deux autres.

2/ Que représente cette parure de lit pour toi ?  

Les beaux jours, c’est le dimanche matin sous la couette, le petit-déjeuner au lit, le ciel bleu que l’on aperçoit par la fenêtre avant de se lever pour commencer une nouvelle journée. C’est aussi la promesse du bonne nuit de sommeil avec ce bleu marine qui vient équilibrer le pep’s de la couette.

3/ En quoi cette parure t’évoque le made in France ?

Pour créer le motif de la couette, je me suis inspirée des couleurs du drapeau français : bleu, blanc et rouge. Très vibrante sur le drapeau original, je suis venue les tempérer avec la sous-teinte de chaque couleur et j’ai ajouté un peu de lumière avec une touche de jaune afin de créer un motif équilibré et vibrant.

4/ Du papier au linge de lit, quelles difficultés rencontrées ?

Il n’y a pas vraiment de difficulté propre, dans la mesure où je savais directement que j’allais travailler sur un support qui présente des contraintes : coutures, plis, motifs qui ne doivent pas être coupés etc. De fait, j’ai appris à penser mes illustrations comme des motifs, et non plus comme des illustrations posée sur une feuille. C’est un très bon exercice, et un vrai plaisir pour moi qui adore varier les supports.

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